Militantsyndicaliste (AESO, ANEB) dans une autre vie universitaire, puis chef d’entreprise (Ndlr : Il était DG du cabinet IPSO Conseils), il avait été nommé le 3 mars 2022 Premier ministre La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. » proverbeJ’ai toujours pris cette sentence pour acquise, sans vraiment me pencher dessus, la soupeser ou la visualiser. Je l’entendais, comme une ritournelle, depuis petit, à chaque fois qu’on devait brimer ma liberté ou celle des autres. Pourquoi et comment ma liberté doit-elle s’arrêter là où commence celle de l’autre ? Existe-t-il des frontières entre les libertés ? Les libertés sont-elles des propriétés strictement privées, délimitées, dont on ne peut sortir » sans empiéter sur le terrain de l’autre ? Sont-elles, par conséquent, des prisons aux clôtures invisibles ? Ne puis-je pas cheminer, librement, dans un espace public sans craindre de marcher sur les plates-bandes de quelqu’un ? Existe-t-il une sorte de marquage de territoire », comme dans le règne animal ? Et si ma liberté, comme dit le dicton, s’arrête » à une certaine limite, que dois-je faire ? Du surplace ou rebrousser chemin ? Et si je choisis de m’arrêter à la limite, dois-je passer le flambeau de la liberté à cet autre » qui cheminera avec pour le passer à son tour à un autre une fois sa limite atteinte, et ainsi de suite ? Et qui nous dit que la liberté est linéaire ? Ou unidimensionnelle ? Qu’est-ce à dire, la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres » ? Est-ce à dire que ma liberté prend fin dès que l’autre commence » à être libre ? Qu’il n’était pas libre avant? Qu’il m’a fallu lui passer la main? Que je ne suis plus libre après ? Les libertés doivent-elles nécessairement se rencontrer ? Se confronter? Entrer en collision ? Empiéter les unes sur les autres ? Ne peuvent-elles pas rouler en parallèle ? Comme les automobiles sur une autoroute à plusieurs voies ? Si j’exerce ma liberté de penser, ou de chanter, ou d’écrire, ou de dessiner, pourquoi faut-il que cet exercice soit circonscrit dans des limites spatiales ? En quoi mon prochain peut-il être dérangé ou se sentir envahi si je pense, ou je chante, ou je danse dans mon univers parallèle », dans mon monde à moi, tant que je ne lui cause aucune nuisance, ni sonore, ni visuelle, ni olfactive, nos univers étant distants et disjoints ? À lui son monde, à moi le mien ; à lui ses goûts, à moi les miens ; à lui ses valeurs, à moi les miennes ; à lui ses limites, s’il le veut, et à moi mes illimitations, qui ne sauraient lui créer la moindre entrave, puisque chacun évolue dans son univers. Il n’a pas à venir coller son oreille à ma porte » pour entendre ce que je dis et s’en offusquer, ni moi de mon côté. Rien ne devrait arrêter ma liberté car devant moi, il n’y a pas les autres il y a ma liberté. Les autres sont à côté, dans leur voie de circulation, dans leur direction, vers leur destination. À chacun sa dimension. À chacun son univers, son royaume ou son enfer ! Ma liberté ne finit pas au seuil de celle d’autrui, tout comme la liberté d’autrui ne commence pas à la fin de la mienne. Aucune liberté ne devrait marquer le début ou la fin d’une autre. Ce ne sont pas des bouts à joindre. Ce n’est pas une course de relais. Ce n’est pas une exploitation agricole. À toi ton enclos, à moi le mien. Tu t’arrêtes là où ma propriété un tout autre schème, un tout autre paradigme. C’est un multivers », qui n’a ni limites ni frontières, qui se situe en dehors de l’espace-temps. Laissez-moi nager, voyager, voltiger dans ma galaxie ». Jouer ma musique, dessiner mes formes, chanter, rêver, danser, tournoyer, farandoler avec mes anges ou mes démons ! Et si je me perds dans le vide, c’est ma perdition, pas la vôtre ! Vous, vous ne risquez rien. Et je ne vous ai pas demandé de me rejoindre ! Mais laissez ceux qui aiment mon spectacle astral emprunter ma Voie lactée ! Elle ne peut croiser la vôtre ! C’est une voie alternative ! Les textes publiés dans le cadre de la rubrique courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. » proverbeJ’ai toujours pris cette sentence pour acquise, sans vraiment me pencher dessus, la soupeser ou la visualiser. Je l’entendais, comme une ritournelle, depuis petit, à chaque fois qu’on devait brimer ma liberté ou celle des autres. Pourquoi et comment ma liberté doit-elle s’arrêter là où...
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Sujet 3 La vie en société menace-t-elle notre liberté ? Attention Pour vous aider à visualiser le corrigé, nous allons mettre des titres aux différentes parties vous ne devez bien sûr pas les écrire sur votre copie le jour de l’épreuve. Mais vous pouvez les noter sur votre brouillon pour vous aider à structurer vos idées. Astuce L’introduction doit avant tout poser un problème qui justifie la question ; un problème est un débat, une opposition entre deux notions, ici société / liberté, ou bien un dilemme la société sans la liberté ou la liberté sans la société, ou encore la définition générale d’un concept qui vient s’opposer à la définition d’un autre concept. Vous avez donc le choix du procédé, mais dans tous les cas, il faut poser un vrai problème. Introduction D’une part, hormis les ermites, les êtres humains ne s’imaginent guère vivre seuls dans la nature. Mais d’autre part, si être en société est commode, ce mode de vie impose des contraintes il faut obéir à des lois, suivre une organisation, un emploi du temps, respecter les autres, supporter les autres, appliquer les codes d’un groupe, avoir des habitudes, se sentir obligé de rire quand les autres rient… Autrement dit, il semblerait que la société nous empêche d’être nous-même, d’être comme nous voudrions être – au risque d’être mal jugé. Ainsi, la vie en société menace-t-elle notre liberté ? La question renvoie à cette contradiction que Kant nomme l’insociable sociabilité de l’homme » dans Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique d’un côté, nous avons tendance à vouloir vivre ensemble, pour des raisons de commodité individuelle ; d’un autre côté, il existe en nous une résistance – à laquelle nous cédons pourtant – à la vie sociale, à cause justement de ses contraintes. Astuce La question ici est n’est pas posée sans raison, artificiellement un problème la justifie. Tout d’abord, nous verrons que la vie en société constitue non seulement une menace pour notre liberté, mais qu’elle empêche toute possibilité de pouvoir faire ce que nous voulons faire. Toutefois, cette liberté menacée n’étant qu’un type particulier de liberté, nous nous apercevrons que la vie en société, loin de menacer notre liberté, au contraire la conforte. Cependant, si la vie en société menace notre liberté, il se peut que cette menace, due à une exigence de sécurité, soit en partie voulue par les hommes pour réduire et permettre à la fois la liberté. La vie en société, une menace pour notre liberté Astuce Dans cette première partie, nous allons tout d’abord définir les concepts puis travailler sur ceux-ci. La vie en société est une menace pour notre liberté. La liberté peut se définir, dans un premier temps, sur le mode de l’immédiateté, comme la liberté de faire ce que nous voulons, sans limite ; autrement dit, être libre serait pouvoir agir et parler conformément à notre volonté, au-delà de toute obligation ou interdiction. Dans la mesure où notre lieu de vie qu’est la société constitue un système, une organisation humaine faite de lois et d’habitudes prévisibles qui sont autant de sources de pression pour la personne, apparaît dès lors un très fort degré d’incompatibilité entre la vie collective en société et la vie de la liberté individuelle. Une menace » n’est pas exactement un péril avéré mais un péril en puissance, c’est-à-dire un danger ainsi, vivre en société oblitère nos chances de liberté. Ou encore, si vivre c’est être libre, et si être libre c’est vivre, vraiment vivre, alors vivre en société » n’est pas vraiment vivre. La société ne serait-elle pas une caverne de Platon mais dont nous savons que nous ne pouvons en sortir ? L’anarchisme Dès lors, si vivre en société risque d’empêcher notre liberté, ne faut-il pas concevoir et même assumer une vie hors de la société, ou du moins en dehors de tout État, de toute organisation ou pouvoir politique au sens large ? L’anarchisme serait-il le seul système socio-politique pouvant garantir la liberté humaine ? En ce sens, pour Stirner, la liberté a pour condition l’absence de société organisée en État, par un gouvernement politique. Dans L’Unique et sa propriété, il considère que toute société, même la plus démocratique, asphyxie le moi et le prive de liberté. L’Homme serait par essence libre et responsable, et pourrait ainsi se passer d’une autorité supérieure et souveraine. Cette dernière produit l’anéantissement de l’autonomie individuelle et empêche tout épanouissement personnel. D’où cette idée radicale la nécessité de faire disparaître toute vie en société organisée autour d’un État c’est-à-dire la quasi-unanimité des société humaines. La société et la liberté du moi sont en conflit. La vie en société exige des engagements le vote démocratique est l’engagement selon lequel on se pliera à la volonté de la majorité d’un moment. Or la liberté est aussi la liberté de changer d’avis, sur le mode du temps qui passe. Pourtant, Stirner précise Ne serais-je pas lié, aujourd’hui et toujours, à ma volonté d’hier ? Ma volonté dans ce cas serait immobilisée, paralysée. Toujours cette malheureuse stabilité ! » La liberté du moi est, au contraire, de pouvoir changer. La vie en société ne le permet pas. La liberté est naturelle Plus radicalement, être libre, c’est se retirer de toute société humaine, organisée étatiquement ou non. Zhuangzi, dans son livre le Zhuangzi, prône une vie spontanée, faite d’actions nous permettant de nous libérer du monde humain, de la société, de ses règles et de ses artifices notamment techniques. Il faut faire de la vie humaine un vagabondage libre et simple » dans lequel le moi, plutôt que de s’affirmer, devrait pouvoir se fondre avec la nature. La vraie vie n’est pas sociale, elle est à l’image du cheval sauvage dans la nature, non du cheval domestiqué, amoindri, altéré, mis au service de l’Homme dans des écuries. L’élément de notre liberté est l’air plutôt que la terre. Nous mourrons un jour ? Certes mais Si à l’air libre je serai livré en pâture aux corbeaux, sous terre je serai dévoré par les vers. » Mieux vaut mourir libre et heureux dans la nature que vivre prisonnier et malheureux dans la société. Attention Une transition critique est indispensable avant de passer à la partie suivante. Cependant, cette vie libre nécessite un renoncement au milieu dans lequel nous naissons et vivons depuis très longtemps la société. Ce renoncement est-il véritablement possible ? Même les aventuriers qui vivent de la nature et éprouvent un fort sentiment d’évasion ne doivent leur vie et leur liberté qu’à la sécurité et aux moyens techniques qu’offre la civilisation une combinaison en néoprène pour nager dans l’eau libre et froide, ou un VTT trail solide, maniable et léger pour s’enfoncer aisément dans les forêts. La vie en société, une condition de la liberté La vie en société et la compagnie des hommes sont peut-être alors non l’obstacle mais la condition de la liberté, la mienne comme celle des autres. Une société est un réseau d’échanges, échanges matériels, intellectuels et affectifs. Elle semble indispensable à toute vie humaine. La société, nature de l’être humain Autrement dit, vivre en société serait inscrit dans la nature humaine et serait pour nous la seule vie possible. Celui qui vit seul vit-il encore dans une humanité ? En ce sens, Aristote considère, au début de sa Politique, que L’homme est un animal politique » zôon politikon, c’est-à-dire un être naturellement social. Le vivre » de l’expression la vie en société » est à prendre au sens d’une disposition propre au vivant humain d’où le mot animal ». Nous sommes fait pour vivre ensemble, pour une meilleure indépendance sociale, une meilleure liberté politique de chacun le cordonnier vend au boulanger les chaussures qu’il ne sait pas fabriquer ; et le boulanger vend au cordonnier le pain qu’il n’a pas appris à faire, ayant appris à faire autre chose. La liberté est ici conditionnée par le fait de vivre en bonne intelligence, dans une Cité elle-même libre, selon le principe de l’indépendance politique et juridique. L’homme qui vit seul est soit un animal, soit un dieu. Les besoins naturels et leur satisfaction constituent le fondement de la vie en société. Seuls, nous ne pouvons combler ces besoins. Notre nature nous impose la mise en place de réseaux d’échanges, eux-mêmes naturels. La vie en société devient insupportable et condamnable quand les échanges deviennent artificiels et produisent des besoins tout aussi artificiels. D’où la condamnation aristotélicienne de la chrématistique », c’est-à-dire le commerce de tout ce qui n’est pas indispensable à une vie humaine faite de rapports sincères et qui viendrait, au contraire, les corrompre et produire des injustices, faire perdre à certains leur liberté. Le contrat social, condition de la liberté Aujourd’hui, l’institution de l’État comme modèle structurel de la société a remplacé la réalité de la Cité antique est-ce à dire que l’État permet une vie en société qui serait plus libre que dans une Cité antique ? Pour Rousseau, un problème se pose cependant. Au début du Contrat social, il écrit L’homme est né libre, et partout il est dans les fers. » Selon lui, l’Homme jouit d’une liberté naturelle il s’agit d’un droit que la nature lui donne. Toutefois, les sociétés et les États ont transformé l’Homme libre en individu esclave ou prisonnier des tyrannies symbolisées par les fers » ou encore l’image du joug ». Dès lors, la question que Rousseau se pose est comment l’Homme pourrait-il recouvrer une liberté dans une société organisée ? Quel type d’État le permettrait ? Une république serait, selon lui, un État de cet ordre. Quel type de liberté est possible dans la vie en société organisée par une république ? Le chapitre 6 du livre I du Contrat social explique qu’un pacte social », première étape d’un contrat social », repose sur le fait qu’à la liberté naturelle et individuelle se substitue une liberté civile et collective. La liberté naturelle et individuelle de faire ce que l’on veut est solitaire et limitée d’une part par nos capacités physiques s’il existe une liberté et un droit naturels de déplacement, nous n’avons pas le liberté de marcher des heures en plein chaleur sans boire, d’autre part par l’environnement qui peut devenir très hostile, au plan climatique notamment, comme le fait remarquer Rousseau. De là, la vie dépend de notre capacité à nous organiser l’union fait la force. Une république demande à chacun de renoncer à sa liberté de faire ce qu’il veut au profit d’une liberté commune, garantie par le cadre des lois que tout le monde accepte librement de respecter par opposition à la loi du tyran ou à la loi du plus fort. Telle est la formule du contrat social Trouver une forme d’association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s’unissant à tous, n'obéisse pourtant qu’à lui-même, et reste aussi libre qu’auparavant. » Ce cadre législatif et républicain est la condition à respecter pour que la vie en société ne menace pas nos libertés fondamentales penser, s’exprimer, se déplacer, entreprendre…. Attention Une transition critique est indispensable avant de passer à la partie suivante. La question qui se pose est aussi celle de savoir ce qui, précisément, dans la vie en société, risque de détruire notre liberté ? Pour Rousseau, le contrat social est un équilibre entre liberté et sécurité. Or, la liberté n’est-elle pas un risque pour notre sécurité ? Et sans sécurité, pouvons-nous réellement être libres ? Liberté et sécurité Ainsi, si la vie en société nécessite une sécurité civile, il se peut que cette dernière vienne menacer notre liberté. La question est de savoir quel rapport entre liberté et sécurité les hommes préfèrent pour vivre dans la société la plus heureuse et la plus juste plus de sécurité au détriment de la liberté, ou plus de libertés au détriment de la sécurité ? La sécurité plutôt que la liberté ? Il se peut que la satisfaction du besoin de sécurité soit une menace pour la liberté, c’est-à-dire ici un mal nécessaire. L’être humain préfèrerait la sûreté civile. Il la choisirait, même, au détriment de la liberté. C’est ce qu’avance Hobbes, dans son Léviathan. Cette idée repose sur un postulat anthropologique l’Homme serait mauvais pas nature. L’hypothèse de l’état de nature décrit un être intéressé seulement par lui-même, ce qui ferait de chacun d’entre notre un être prêt à tuer son semblable pour lui voler son bien ou pour assurer sa propre sécurité. L’homme est un loup pour l’homme » et, si on le laissait libre de faire ce qu’il veut, la société serait un état de guerre de tous contre tous ». Dès lors, ce n’est pas la vie en société qui constitue une menace pour la liberté, mais la liberté qui constitue une menace pour la vie tout court. La vie en société est ce qui pose des règles à la vie tout court et, en même temps, ses conditions nécessaires. Pour que la paix civile soit garantie et dans la mesure où l’Homme est mauvais par nature, il doit vouloir, s’il veut vivre tranquille, qu’un pouvoir coercitif soit institué, en la personne du Léviathan. Ce chef politique reçoit, par contrat social, le pouvoir et la liberté individuel de tous les sujets et se voit doté d’un pouvoir politique suffisant pour assurer la sécurité de tous. La liberté a un prix, mais payer ce prix est conscient et volontaire les hommes veulent moins de liberté, davantage de sécurité, et c’est sciemment qu’ils font de la réduction de la liberté la condition de la vie en société. L’Homme est mauvais mais intelligent il veut vivre en société. La liberté plutôt que la sécurité ? Mais l’Homme est-il réellement mauvais par nature ? Le choix contraint d’un pouvoir autoritariste est-il une fatalité ? L’Homme est-il suffisamment responsable et paisible pour vivre dans une société permettant des libertés ? Le problème de la vie en société est qu’elle doit composer avec des caractères, des désirs et des avis différents par exemple, actuellement en France, certaines personne préfèreraient des lois plus fermes, empêchant certaines liberté mais permettant selon elles une vie en société plus tranquille ; d’autres préfèreraient moins de contraintes sociales au profit de davantage de libertés. Des situations de pandémie obligeant à des limitations dans les déplacements confinement, couvre-feu et à des mesures de protection port du masque révèlent ce à quoi se réduit parfois la sûreté publique pour les uns des barrières contre la phobie des contaminations de toute sorte, et ce à quoi se réduit la liberté pour les autres prendre l’apéritif à la terrasse d’un café. Dans le chapitre 9 du livre III du Contrat social, Rousseau traduit ainsi les controverses de la vie en société, controverses qui résument bien le problème du rapport entre vivre ensemble » et vivre libre » Les sujets vantent la tranquillité publique, les citoyens la liberté des particuliers ; l’un préfère la sûreté des possessions, et l’autre celle des personnes ; l’un veut que le meilleur gouvernement soit le plus sévère, l’autre soutient que c’est le plus doux ; celui-ci veut qu’on punisse les crimes, et celui-là qu'on les prévienne […]. » Le but de l’association politique », c’est-à-dire de la vie en société, est d’abord la conservation et la prospérité de ses membres », sans lesquelles la liberté civile ne serait pas possible. Pour Rousseau, une république est un juste compromis entre liberté et sécurité. Autrement, cette société ne prospèrerait pas, ni sur le plan moral ni sur le plan économique. Vivre nécessite de vivre en toute sécurité de là, la vie en société n’est pas une menace pour la liberté. Astuce On utilise la conclusion pour préciser sa prise de position finale, l’idée à laquelle on aboutit en fin de raisonnement et sur laquelle on s’engage. Conclusion La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres » ce proverbe semble finalement faux, tant la liberté dans une société s’exerce dans un cadre partagé, celui que nous délimitons ensemble de façon démocratique et qui se traduit par des lois auxquelles chacun accepte librement d’obéir. Si ma liberté s’arrête là où la tienne commence, nous vivons alors chacun dans notre petite parcelle de liberté en ce cas, il y a peut-être une société – fragmentée – mais pas à proprement parler de vie en société. Ensemble » est l’adverbe politique par excellence vivre ensemble, c’est être libres ensemble, dans un État garantissant la protection de notre liberté.
Maliberté s'arrête là où commence celle des autres, et vous ? Report this post Mounir Beltaifa Mounir Beltaifa Ethical Leadership & Sustainable Development Published Jan 8, 2015 + Follow
Par Kharoll-Ann Souffrant. Dans la vie, j’ai un défaut qui est à la fois une qualité. Je prends beaucoup de temps avant de me forger un avis sur à peu près tout. Je suis capable de suspendre mon jugement sur une situation donnée, de prendre un recul et un temps de réflexion avant de donner mon point de vue qui dans la plupart des cas, se retrouve à être nuancé plutôt que complètement noir ou complètement blanc. Je suis capable aussi de remettre en question ce que je tenais pour acquis et d’utiliser mon esprit critique. J’ai aussi une politique personnelle tant sur les réseaux sociaux que dans la vie. Je fais mon possible pour être franche, directe, mais également diplomate et sensible aux émotions d’autrui. Si ce que je m’apprête à écrire ou à exprimer n’est pas quelque chose que je dirais en pleine face, et bien je m’abstiens de commentaires. Parfois, ça ne vaut pas la peine de nourrir du négatif avec du négatif. Et puis, il y a toujours une bonne raison pourquoi les gens sont comme ils sont ou qu’ils font ce qu’ils font. On est tous humains après tout. Je crois, sans doute, naïvement, que nous essayons tous de faire de notre mieux ici-bas. Donc, je ne veux pas alourdir le fardeau souvent invisible et inconnu de tous que portent les gens sur leurs épaules. Je ne suis pas spécialement sage, comme diront certains. Je ne suis pas non plus parfaite. C’est que pour avoir été victime d’intimidation et de cyberintimidation au secondaire, disons que je fais attention à ne pas heurter les autres à mon tour. Je ne veux pas que les autres se sentent comme moi je me sentais à une certaine époque. Je sais que les mots en bien comme en mal ça laisse des traces pour la vie et qu’ils peuvent même tuer. Alors, quand j’écris, je pense toujours à la manière dont la personne dont je parle pourrait recevoir mes propos si par inadvertance, elle pouvait tomber dessus. Je crois sincèrement que toute tribune vient avec une responsabilité et j’essaie de m’en porter garante. Mais là n’est pas exactement le but de ce billet. Parlons de l’affaire Mike Ward-Jérémy Gabriel. Oui, des tas de gens ont écrit là-dessus. Je ne veux pas répéter ce qui a maintes fois été dit dans un billet interminable. Or, je crois juste que plusieurs font preuve d’une grande hypocrisie lorsqu’ils abordent la fameuse défense intouchable de la liberté d’expression. On n’a qu’à penser à Raif Badawi et plusieurs autres qui croupissent en prison et pour lesquels plusieurs personnes ne se mobilisent pas d’un iota. [1] Mais ce n’est pas sans rappeler l’affaire Gab Roy vs Mariloup Wolfe ou encore Jeff Fillion vs Sophie Chiasson. À plus d’une reprise, on brandit la liberté d’expression comme un passe-droit pour salir, détruire, blesser, lyncher et j’en passe. Pour briser des vies, même si l’intention première n’est peut-être pas celle-là. Sans égard à la manière dont ça pourrait être reçu par les principaux concernés. Et ça me pue au nez. De se cacher derrière un humour qui ne fait pas rire pour s’en prendre notamment à ceux qui sont moins privilégiés dans notre société. C’est Dany Turcotte qui disait Les fous du roi ne sont pas là pour frapper sur les plus faibles, mais bien pour ébranler le roi. » Ce sera tout pour moi. [1]
Laliberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" : cette phrase est devenue une évidence, presque un proverbe. Elle est sans cesse. 5 Pages • 925 Vues. La liberté de la presse est-elle avantageuse ou biaisée pour l'État. PRESSE (Droit polit.). On demande si la liberté de la presse est avantageuse ou préjudiciable à un
Après cette période difficile que nous avons traversé, nous avons le plaisir de pouvoir ouvrir de nouveau les portes de notre agence immobilière à Sainte Maxime le 11 mai et enjoués de reprendre notre activité c'est néanmoins avec des mesures barrières que nous vous accueillerons chez Excellence épisode de confinement nous a appris à nous protéger, sans nuire à autrui et pourquoi pour pérenniser notre nouvelle liberté il est essentiel d'adopter des gestes et des réflexes barrières, nous avons décidé chez Excellence Immobilier de tout mettre en oeuvre pour vous assurer confort sécurité et sérénité dans vos démarches. Mesures de sécurité sanitaire chez Excellence Immobilier- L'agence est équipée de gel et masque, un plexiglass de sécurité sera installé sur chaque bureau et nettoyé plusieurs fois par Les surfaces de travail seront nettoyées après chaque passage Nous vous invitons à prendre rendez-vous par téléphone pour limiter le nombre de personnes présentes dans l'enceinte de l' Un protocole visite à été rédigé pour vous informer des règles à suivre pour les visites futures. Cette note est disponible sur La signature des actes par voie électronique est privilégiée pendant cette mesures sont là pour veiller à la tranquillité de chacun et pour pouvoir avancer ensemble dans la bonne vous souhaitons à tous une bonne & Michaël CAMPONEZ Nous écrire Les champs indiqués par un astérisque * sont obligatoires
Mieuxvivre ensemble nécessite désormais plus d'union, plus de respect de la diversité, plus de compréhension mutuelle et une lutte efficace contre l'ignorance, l'exclusion et le terrorisme ! Qu'ils soient musulmans ou non, seuls les ignorants peuvent confondre terrorisme, assassinats lâches & chaos avec le savoir vivre ensemble en paix de l'islam
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui », selon l'article 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789. Ou alors, selon la maxime populaire ma liberté s’arrête là où commence celle des autres. Ces rappels sont nécessaires, à l’heure où de plus en plus de manifestants à travers le monde décrient l’obligation de porter un masque comme une atteinte à la liberté individuelle, et où en France aussi la question vire parfois à la violence, comme le montre le cas de l’homme tabassé dans son commerce début août pour avoir exigé le port du masque. Mais pourquoi ces nouvelles obligations suscitent-elles autant de polémiques et de contestation ? Porter, ou non, un masque est-il réellement une question qui concerne la liberté ? Une atteinte aux libertés fondamentales Cette question fait débat depuis le mois d’avril, quand la Ligue des Droits de l’Homme a saisi la justice, considérant que l’arrêté municipal de Sceaux, imposant le port du masque et un couvre-feu, constituait une atteinte aux libertés fondamentales. La décision du Conseil d’État du 17 avril 2020 a conclu que l’arrêté en question port[ait] une atteinte immédiate à la liberté d’aller et venir et à la liberté personnelle ». Notons toutefois que cette décision n’implique pas que l’obligation du port de masque ait été jugée contraire à la liberté ; ce qui était en question, c’était l’habilitation du seul maire de décider de mesures plus strictes pour sa commune que celles en vigueur pour toute la France. Selon un communiqué de la Ligue des Droits de l’Homme, c’est d’ailleurs ce système à deux vitesses qui posait problème, ainsi que le fait d’imposer le port du masque alors que ceux-ci n’étaient pas disponibles pour la population. Alors, à quelle liberté l’obligation du port du masque porterait-elle atteinte ? Certainement pas à celle d’aller et venir, puisqu’il est tout à fait évident que la libre circulation des personnes est possible – et même renforcée tant que la mesure permet d’éviter un nouveau confinement – par cette mesure de prophylaxie. Une forme d’ esclavage » ? Certaines des voix qui s’élèvent contre le port du masque suggèrent que cette obligation porterait atteinte à leur liberté d’expression, de conscience ou de vie privée. Lors d’un grand rassemblement à Berlin le 1er août, qui a mobilisé quelque 20,000 personnes venant de tout le pays, les manifestants anti-masques ont dénoncé cette obligation comme une forme d’esclavage et ont revendiqué le fait d’être libres ». Ces remarques font écho aux propos scandés depuis des mois lors de manifestations aux États-Unis, souvent appropriant le slogan de la lutte pour le droit des femmes et le choix de l’avortement – mon corps, mon choix » – à cette fin. Ce refus de politiques de prévention est particulièrement inquiétant, surtout lorsque l’on tient compte du fait qu'un grand nombre de personnes qui jugent ces mesures liberticides » sont précisément celles qui par ailleurs refusent la liberté de choix dans d’autres contextes, comme l’avortement ou les droits des communautés LGBT+. Que veut dire être libre ? À l’heure actuelle, toute question de choix est immédiatement appropriée dans un discours sur la liberté individuelle. Ce faisant, cependant, l’on oublie souvent que la liberté n’est pas l’absence de toute contrainte ou l’autodétermination absolue, mais que nos libertés existent dans une sphère sociale et politique, et sont de ce fait limitées par celles des autres. Comme l’a bien dit Montesquieu dans De l’esprit des lois, la liberté ne peut être garantie que dans un contexte de limitation et de respect de la loi Il est vrai que dans les démocraties le peuple paraît faire ce qu’il veut ; mais la liberté politique ne consiste point à faire ce que l’on veut. Dans un État, c’est-à-dire dans une société où il y a des lois, la liberté ne peut consister qu’à vouloir faire ce que l’on doit vouloir, et à n’être pas contraint de faire ce que l’on ne doit pas vouloir. Il faut se mettre dans l’esprit ce que c’est que l’indépendance, et ce que c’est que la liberté. La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent ; et si un citoyen pouvait faire ce qu’elles défendent, il n’aurait plus de liberté, parce que les autres auraient tout de même ce pouvoir. » Être libre, ainsi, ce n’est pas faire tout ce que l’on veut, c’est faire ce que l’on veut dans un cadre qui garantit la possibilité à tous de décider également un maximum pour et par eux-mêmes. C’est pourquoi aucune liberté n’est absolue la liberté d’opinion ou d’expression, si souvent revendiquée aujourd’hui à l’ère du numérique, connaît elle aussi des limites, renforcées même par la loi du 24 juin 2020 visant les contenus sur Internet. Il est, par exemple, interdit de tenir des propos qui incitent à la haine ou à la violence, précisément parce que ce type de propos met à mal la liberté d’autrui et le système sur lequel se fonde la protection de cette liberté. Une ingérence du pouvoir Ces considérations s’appliquent-elles aussi lorsqu’il s’agit du port du masque ? Selon d’aucuns, cette obligation constitue une ingérence de la part des pouvoirs publics sur leurs choix personnels, une forme de paternalisme qu’ils estiment inacceptable. C’est à chacun, ils disent, de décider s’il veut se mettre en danger, prendre le risque de tomber malade. Ce n’est pas le rôle de l’État d’intervenir dans les choix et les préférences. Si un tel argument est recevable, ce type de raisonnement n’est valable que dans les cas où les choix et préférences ne comportent aucun tort commis à l’égard d’autrui, et n’entraînent aucune restriction de ses droits ou libertés fondamentales. Dans le cas du port du masque, pourtant, il ne s’agit pas d’une obligation de se protéger, mais d’une mesure visant la protection des autres, et surtout les plus vulnérables au sein de notre société. S’il est vrai que la Déclaration universelle des droits de l’homme garantit la liberté d’expression et de conviction, il ne faut pas oublier cet autre droit mentionné dans l’article 3 Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ». Or, c’est précisément ici qu’intervient la limitation imposée à notre liberté suggérée dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et par Montesquieu. Car, confrontés à une pandémie qui coûte la vie quotidiennement à des milliers de personnes à travers le monde, et qui entraîne par ailleurs de nombreux dommages collatéraux économiques et sociaux, l’on peut argumenter que la protection de la vie, la liberté et la sûreté d’autrui doit être priorisée par rapport à la liberté d’opinion, de conviction ou de préférences individuelles. S’il existe des moyens simples et efficaces pour ralentir la propagation de la maladie et les pertes humaines, comme le port du masque, ceux-ci ne doivent ainsi pas être considérés comme des entraves à notre liberté, mais au contraire comme une manière de la promouvoir. La liberté absolue, c’est la responsabilité absolue Il y a peut-être ceux que ces arguments ne convaincront pas, ceux qui verront dans ces définitions politiques une conception déflationniste de la liberté humaine, qui refuse l’autonomie et l’autodétermination individuelles. Rappelons, cependant, que même les penseurs qui ont défendu une conception beaucoup plus radicale de la liberté humaine, comme Jean‑Paul Sartre qui affirmait que la liberté était la possibilité de se choisir indépendamment des contextes politiques ou des normes, n’ont jamais soutenu que l’exercice de la liberté était sans contraintes. Pour Sartre, notamment, la liberté absolue va de pair avec la responsabilité absolue. C’est parce que l’homme est libre qu’il est responsable, et Sartre précise que cela ne veut pas dire que l’homme est responsable de sa stricte individualité, mais qu’il est responsable de tous les hommes. » Aucune norme, aucune loi, aucune institution ne peut nous dire ce que nous devons faire, ce qui est juste. Cependant, nos actions et nos choix impactent les autres qui nous entourent, et c’est précisément parce que ces actions sont libres que nous devons répondre de leurs conséquences. Autrement dit, une conception radicale de la liberté implique une conscience accrue du fait que nous tenons la vie et la liberté de toute autre personne entre nos mains. Quelle que soit notre conception de la liberté, aucun argument juridique ni moral ne permet de soutenir l’idée que l’obligation du port du masque serait contraire à cette liberté. Un seul argument allant dans ce sens serait valable, et il est loin d’être le plus fréquemment cité sur les réseaux sociaux ou lors de manifestations. Cet argument est d’ordre économique. En effet, les masques coûtent cher, et surtout dans un pays comme les États-Unis, où actuellement 10 % de la population ne dispose pas de suffisamment de nourriture, exiger le port du masque pour sortir alors qu’on ne prévoit pas de distribution de ces masques ou d’aide financière à ces populations peut en effet constituer une atteinte à la liberté de circuler. Cependant, ceci ne devrait pas comporter un argument contre le port du masque, mais au contraire encourager nos sociétés à garantir un accès équitable aux ressources nécessaires pour la subsistance et la protection des droits de tous.
Le20 mai 2019 à 13:36:21 Morollus a écrit :Le - page 2 - Topic "La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" du 20-05-2019 13:20:32 sur les forums de jeuxvideo.com
21/07/2021 014000CHRONIQUE — ✍️ Quand la liberté des autres s’arrête là où la mienne commence A l’heure du nécessaire pass sanitaire, réflexions sur la guerre des libertés, la remise en cause du progrès et les risques qu’il faut continuer à prendre Par luclevaillant ⤵️A l’heure du nécessaire pass sanitaire, réflexions sur la guerre des libertés, la remise en cause du progrès et les risques qu’il faut continuer à le 20 juillet 2021 à 19h10 Lire la suite Libération » VIDÉO - Quand David Bowie a fait ses adieux à Ziggy Stardust à Londres en 1973 Maux de ventre, ballonnements quand de simples symptômes cachent un diagnostic plus complexe Comment porter plainte quand on est victime d’une arnaque financière ? luclevaillant Écrit avec des pieds fortements ampoulés ce truc.🙄 'Et peut-être que la veule obéissance des cohortes de refuzniks en peau de lapin, se précipitant pour se faire piquer afin de continuer la fiesta, tient à un je-m’en-foutisme larvaire et à un consumérisme spasmodique.' luclevaillant Les vaccinés étant protégés, la vaccination obligatoire est une atteinte au droit à disposer de son corps. Chacun a le droit de prendre ses responsabilitésluclevaillant Bonsoir , vous pouvez par faire du Pay per View ? luclevaillant Plutot l inverse. Ma liberte s'arrête la ou commence celle des autres!! luclevaillant toujours à la pointe de la propagande, quel que soit les maitres. Il faut bien mériter sa gamelle... mais à un tel niveau, ça relève de la Si la liberté ne s'arrête pas à mon enveloppe corporelle et a mon ame...c est du viol. Meme des pédophiles ne sont pas obligés de prouver qu'ils suivent des traitements alors qu'ils sont des dangers pour nos enfants...Et les fichés S. Ils peuvent se ballader anonymement.. luclevaillant 'nécessaire' Libération chantre de la propagande macroniste. Je suis contente d'avoir vécu jusqu'à aujourd'hui pour voir les masques d'une certaine gauche Pour beaucoup, la liberté est l’expression d’une immaturité qui leur fait croire à une expansion sans limite de leurs caprices. luclevaillant on aimerait bien comprendre pourquoi vous parlez de 'nécessité' pour le pass sanitaire.... luclevaillant . . La liberté est une conquête, pas une guerre. La liberté ne nous veut pas de mal. . .VIDÉO - Quand David Bowie a fait ses adieux à Ziggy Stardust à Londres en 1973Le 3 juillet 1973, David Bowie s'avance vers son public et annonce qu'il s'agit du dernier concert de sa tournée Ziggy Stardust, mais aussi son tout dernier concert. Quel intérêt ? Petite erreur. Ce n'est pas David bowie qui a créé le glam, avant lui il y avait Marc bolan et très, mais aussi Roxy de ventre, ballonnements quand de simples symptômes cachent un diagnostic plus complexePODCAST - Lorsque sa patiente est arrivée avec des douleurs abdominales, le docteur Luc Perino ne pensait pas découvrir une pathologie particulière. il y a les médecins à diagnostic et les médecins qui couvrent leur responsabilité appliquant des points de contrôle il y a aussi ceux qui prennent 1cas pour faire du diagnostic dans l'année Après il y a celles/ceux qui attendent jusqu'au classement handicapé selon zone porter plainte quand on est victime d’une arnaque financière ?Alors que les arnaques aux placements financiers se multiplient en ligne, les épargnants se sentent parfois démunis face à leurs recoursQuinze coiffures à adopter quand il fait très chaudLes températures montent et nos cheveux s'affolent. Si on appréciait les longueurs cet hiver, quand l'été et la hausse des températures arrivent, mieux vaut les Spears et ses protecteurs» quand le patriarcat fait pop🎤 Britney Spears et ses protecteurs» quand le patriarcat fait pop Si elle brise ses chaînes, la chanteuse mettra définitivement un terme à un schéma de domination patriarcale qui a perduré dans la pop musique. Je note la participation de Britney à la Cause féministe. B2L Maintenant on a Magali berdahLuc Le Vaillant publié le 20 juillet 2021 à 19h10 Peut-être que la seule raison du poing tapé par Macron sur la table des atermoiements vaccinaux vient d’une irritation fatiguée devant l’éternel retour du même scénario en mode ne se produira plus en de ventre quand de simples symptômes cachent un diagnostic plus complexe 1 min de lecture Maux de ventre quand de simples symptômes cachent un diagnostic plus complexe Lorsque sa patiente est arrivée avec de simples douleurs abdominales, le docteur Luc Perino ne pensait pas la revoir de si nombreuses fois, ni découvrir une pathologie peut-être que la veule obéissance des cohortes de refuzniks en peau de lapin, se précipitant pour se faire piquer afin de continuer la fiesta, tient à un je-m’en-foutisme larvaire et à un consumérisme spasmodique. Il est possible que le Président en ait juste eu marre de se laisser emmerder par la fatalité et de devoir convaincre au lieu de vaincre. Une sorte d' alter ego décadent , surmaquillé, décalé, aux cheveux rouges et à la sexualité ambiguë . Et il est sans doute envisageable que les Français regimbeurs soient majoritairement des veaux et se foutent comme de leur première chemise qu’on leur explique les tenants et les aboutissants de tout ça. Ballonnée, inconfortable, tout lui laissait penser à une banale gastro-entérite, et pourtant . La relativité de ces présupposés démontre sans doute que les débats actuels sur les libertés au temps du pass sanitaire ne sont qu’échauffourées en trompe-l’œil et algarades en carton-pâte. C'est peut-être ce qui explique l'émotion. Pourtant, les lignes de séparation se hérissent de fils de fer c… . Tous les documents, contrats, ordres de virements, échanges par mail et même captures d’écran seront également utiles à l’instruction de l’affaire. Laliberté des uns s’arrête où commence celle des autres. Proverbe français sur la vie : Partager sur Facebook Twitter WhatsApp Pinterest Tumblr Google Fais ce que tu veux sans déranger », telle est la conception de la liberté la plus répandue. C’est oublier que la vraie liberté est un engagement qui se déclenche quand l’amour entre en scène. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres… » D’où vient cette formule ? Est-ce la meilleure définition de la liberté ? Cet adage est issu tout droit des philosophies dits contractualistes » des Lumières. Comprenez dans un monde où chacun roule pour soi, et où tous ont les mêmes besoins fondamentaux, si chacun se met en tête de faire absolument ce qui lui plaît, personne n’aura grand-chose, voire rien. Prenons un exemple au hasard dans un monde où chacun espère vivre en bonne santé aussi longtemps que possible, tous ont intérêt à s’empêcher de se postillonner à la figure, même si personne n’aime se couvrir le nez d’un masque du matin au soir. N’importe qui est capable de comprendre ce que voulaient signifier Hobbes, Rousseau ou Kant une absolue liberté pour tous est la fin de la sécurité de chacun, chaque individu doit donc dans son propre intérêt renoncer à l’exercice de son bon vouloir absolu. Il faudra adopter des règles qui garantissent la sécurité de tous, qui nous protègent de nos mutuels appétits de pouvoir. Une fois ces règles adoptées, la défense des libertés peut s’organiser liberté d’opinion, d’expression, d’association, de mouvement…Fais ce que tu veux, sans déranger ?Étonnons-nous cependant de ce que cette maxime visant la vie en commun, et permettant de poser les bases d’un fonctionnement démocratique soit devenue l’alpha et l’oméga de la conduite individuelle, et collective. Fais ce que tu veux, du moment que tu ne déranges personne. Ou explore tous les possibles, du moment que l’autre est consentant. Je suis libre se traduit alors ainsi je fais tout ce qui me plaît tant que je n’empiète pas sur la liberté des autres. C’est oublier deux choses La liberté est un engagementPremièrement, notre liberté n’est pas d’autant plus grande que notre champ des possibles s’étend celui qui a tout à sa portée mais ne choisit jamais rien, devant qui s’ouvre toutes les portes mais n’en pousse jamais aucune est exactement dans la même situation qu’un homme empêché. Il ne fait rien, non par impossibilité mais par impuissance à vouloir, à choisir, à s’engager. En réalité, notre liberté est d’autant plus grande, que notre capacité à nous engager est forte, solide, liberté se prouve et s’éprouve dans l’engagement, l’engagement se déclenche quand l’amour entre en scène. Au service d’un bienDeuxièmement, l’essence de la liberté est ailleurs, elle ne se mesure pas à la quantité des choix qui s’offrent à nous. La question qui mérite d’être posée n’est pas Jusqu’où peut aller la liberté liberté d’opinion, d’expression, de déplacement ? » La question seule question qui vaille est Une liberté pour faire quoi ? » Ainsi, ce qui nous rend libre c’est avant tout d’avoir encore et toujours la capacité à former des projets qui valent la peine qu’on se lève et qu’on se batte. Paradoxalement une vraie liberté est toujours au service d’un bien, lumière pour l’intelligence, élan pour la volonté. Ne défendons pas les libertés dans un objectif stérile de préservation d’elles-mêmes la liberté se prouve et s’éprouve dans l’engagement, l’engagement se déclenche quand l’amour entre en ma liberté s’arrête non pas là où commence celle des autres ma liberté s’arrête lorsque je n’ai rien à aimer, lorsque je ne vois plus rien qui vaille la peine d’être sauvé. Décider d’aimer la vie, et vouloir un monde où chacun ne roule pas pour soi, voilà précisément le cœur de notre liberté c’est à la valeur de nos objectifs que se mesure notre aussi La liberté est le privilège des grands cœurs

Ma liberté s’arrête là où celle des autres commence ». Cette phrase bien connue à une signification bien concrète . Étant citoyens, nous avons tous notre liberté (liberté d’agir, liberté de penser, liberté d’expression,). Cependant, celle

L’édito Je ne vais peut-être pas me faire que des amis, mais ce n’est pas grave, je dis ce que je pense. Je ne suis pas pour le caractère obligatoire du vaccin contre la Covid. Je respecte les opinions d’autrui, même quand je ne les partage pas. Je suis fait ainsi et ne changerai guère. Mais il faut être cohérent une personne qui veut participer à un moment social ou un acte collectif doit être en phase avec la société, respecter l’autre et ne pas être un danger pour lui. Publié le 12/01/2021 à 1515, mis à jour le 14/01/2021 à 1009. © Smart Dicson Donc quand le Medef propose un passeport sanitaire qui viserait à réserver l'accès aux salons professionnels, aux conférences aux personnes immunisées et qui ne peuvent propager le virus en groupe, je ne suis pas choqué. De même pour les accès aux aéroports, aux théâtres, aux cinémas… mais comment qualifier ce rempart provisoire contre la Covid ? Est-il lié au seules personnes vaccinées et/ou aux personnes déjà touchées et ayant développer des anti-corps ? Ce ne serait guère démocratique quand l’accès aux vaccins lui même reste précaire. Ne peut-on admettre les personnes qui peuvent afficher les résultats négatifs d’un test effectué depuis moins de 48 heures ou à défaut venir 30 mn avant et se faire tester avec un résultat négatif immédiat avant l’entrée dans le salon ou la conférence ? Je ne suis pas médecin et donc ne me prononcerai pas sur les modalités mais ce principe de parallélisme entre droits et devoirs me paraît une base logique. D’autant plus que le digital permet toujours l’accès aux events à ceux qui ne veulent pas/ne peuvent se soumettre à l’un ou l’autre de ces process. La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres » John Stuart Mill À lire aussi

Ma liberté d. '. op ini on s. '. arrête là où commence le d ro it à la sauv egarde de la dignité, de l'honneur e t de la répu ta tion des autres. faq-qnw.org. faq-qnw.org. M y freedom of opinion stops where the right to protect the di gnity, honour and r

En 1561, Philippe Nicot, ambassadeur de France à Lisbonne, pouvait-il imaginer qu’en envoyant à Catherine de Médicis du tabac pour soulager ses migraines, que son nom serait associé à un produit dont la consommation annuelle a atteint des chiffres impressionnants au cours de ces dernières années et qui est devenu la première cause de mortalité en France ? Le monde n’a jamais connu de produit créant plus forte dépendance que le tabac… Bien que les campagnes d’information aient été nombreuses, celles-ci reposent souvent sur la peur, et force est de constater que cela ne fonctionne pas. Cela augmente l’angoisse des fumeurs et leur donne encore plus envie de fumer, donc ces campagnes sont ambigües. C'est à l’adolescence que les jeunes commencent à fumer et, la plupart du temps, les messages diffusés ne prennent pas en compte les leviers susceptibles d’atteindre les objectifs souhaités. Il semble important d’éduquer les jeunes sur le comportement, car c’est les armer pour en faire des adultes capables d’affronter les pièges de la vie. Interdire ne sert à rien, si ce n’est justement d’aller contourner cette interdiction par tous les moyens. Le rapport de la Cour des comptes de décembre 2012 a révélé que malgré toutes les campagnes de prévention, la suppression de toute publicité, les interdictions de fumer dans les lieux publics et dans les écoles, les hausses de prix du tabac qui devraient dissuader de commencer, le pourcentage de fumeurs ne décroit pas. Il augmente même de 2,5% pour les femmes et les personnes en difficulté. L’argent dépensé serait-il parti en fumée ? Le risque majeur du tabagisme, celui dont on ne parle jamais, et pourtant le plus grave, c’est la pauvreté, la précarité. Ce sont en effet les classes sociales les plus défavorisées qui fument le plus. Fumer est une réponse et aussi une demande, c’est donc un symptôme, Dépendre de » c’est être sous la domination, sous l’emprise. C'est exactement ce qui se passe quand un comportement devient inévitable et automatique. Certains fumeurs disent qu’ils aiment le goût du tabac, qu’ils éprouvent du plaisir à fumer, la cigarette devient circonstance, contact, détente, accessoire, bouche-trou, coupe-faim… Même si cela est vécu comme un plaisir, ce comportement est un leurre. Fumer est un lien, un rôle symbolique d’identité qui va permettre de supprimer un stress, une souffrance, dont certains ne sont pas conscients. Il semble inutile pour le moment de les convaincre. Pourtant, une prévention plus ciblée, plus pédagogique et ludique même, permettrait peut-être de leur faire comprendre ce qui se cache derrière leur geste. Faire de la prévention pour informer sur le comportement, et non pas sur les risques, sans culpabiliser, permettrait de semer des petits cailloux sur le chemin de la liberté. D’autres au contraire souhaitent se libérer de cette addiction et pourtant n'en trouvent pas la force. Ils disent d’une manière presque désespérée Je voudrais bien mais je ne peux pas ». Se libérer de cette addiction est une décision suite à un raisonnement logique dont la volonté n'a, malheureusement, qu’un pouvoir très temporaire. La volonté ne peut agir sur les automatismes qui sont ancrés dans le cerveau. La simple volonté ne suffit pas. C’est la motivation qui est le moteur ou le cœur de nos actes. Nous ne faisons bien que ce que nous avons envie de faire. Nul n’arrêtera de fumer s’il n’en a pas le désir. Si un fumeur n’est pas prêt à arrêter, toute technique ou substitut aussi puissant qu’il soit ne fonctionnera pas. Les produits de substitution vont même jusqu’à renforcer le sentiment d’échec et faciliteront les rechutes. En revanche, aborder l’individu dans sa spécificité et aussi informer largement sur les mécanismes de la dépendance, les idées préconçues, les pièges à éviter, sont des atouts efficaces. Le passage à l’acte ne pourra se faire que si les motifs pour sont supérieurs aux motifs contre ». L’indépendance peut être acquise dans le temps, le principal est d’atteindre l’objectif fixé. Il n’y a pas d’échec, ni de rechute, il y a juste des humains qui font de leur mieux, à comprendre et trouver les solutions qui correspondent à chacun pour s’en débarrasser. Etre aidé, c’est comprendre et trouver les solutions avec des spécialistes. Faire de la prévention différente, sans culpabilité, en entreprise, dans les collectivités et surtout chez les jeunes, afin qu’ils n’achètent pas ce premier paquet. Plus nous ferons de la prévention pédagogique, ludique, plus nous contribuerons à ouvrir les yeux sur les mécanismes de la dépendance et les chemins possibles pour prendre le contrôle de soi et se libérer, et revenir à un état naturel. Et puis, pour celui qui retrouve à la fois son état naturel et sa liberté, ce succès est personnel et ne doit être attribué à personne d’autre que celui ou celle qui prend ce chemin. Articles recommandés rjPes.
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  • la libertĂ© s arrĂŞte lĂ  oĂą commence celle des autres